L’Irlande dans ma mijoteuse
Chaque fois que je cuisine ma recette de bœuf à la Guinness, je repense à mon voyage en Irlande. C’est fou comme l’odeur d’un plat peut nous replonger dans nos souvenirs!
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Le caldo verde, c’est un peu l’emblème du Portugal, avec le coq de Barcelos. C’est un incontournable. Impossible d’aller au Portugal sans goûter au caldo verde. Je dirais même sans en manger plusieurs fois. On en sert partout, dans tous les restaurants. Dans tous les marchés, il y a des dames qui hachent le chou pour préparer cette recette.
Lorsqu’on voyage en Martinique, on sait en partant qu’on va se régaler de langoustes, d’acras de morue et de tout plein de poissons frais. Mais il y a une recette qui nous attend dans le détour, sans qu’on l’ait vue venir : c’est le colombo. Je ne connaissais pas ce plat avant de me rendre en Martinique; pourtant, il s’est très rapidement taillé une place de choix dans mon cœur en devenant un des points forts de mon voyage en Martinique.
Je veux goûter à tout, toujours. Vous voulez attirer mon attention? Présentez-moi quelque chose que je ne connais pas. Je suis trop curieuse et c’est sûr que je vais vouloir l’ajouter à la liste des choses que j’ai mangées dans ma vie. C’est pour ça que j’aime tant voyager. J’arrive toujours à destination avec une liste d’aliments à essayer. Mais ce que je préfère, c’est lorsque cette découverte arrive sans que je la cherche, au détour d’une ruelle ou au hasard d’une rencontre.
Lorsque je pense à un marché, je pense à un joli brouhaha, du bruit, des vendeurs à la criée, de l’agitation. J’aime cette énergie. C’est électrisant. Mais lors de mon voyage en Croatie, j’ai expérimenté un tout autre type de marché.
Si j’étais une ville, je serais sans aucun doute Londres! C’est ma ville miroir puisqu’elle reflète vraiment les choses qui me plaisent et qui me passionnent. J’ai visité Londres 30 fois et je suis toujours sous son charme. J’aime sa culture, sa musique, son architecture… et, bien sûr, le style et l’humour anglais!
À la fin de l’été, mon amie Catherine est revenue d’un road trip dans le Maine avec une commande spéciale pour moi : créer une clam chowder aussi bonne que celle qu’elle avait mangée là-bas. Eh boy, pas évident de relever ce défi! S’attaquer à une icône n’est jamais simple. Allô plancher glissant! Mais bon, j’aime beaucoup mon amie Catherine et elle était tellement enthousiaste en me faisant cette demande que je n’ai pas pu faire autrement que d’accepter!
Je reviens de la belle Venise, en Italie, et si j’avais pu, j’aurais ramené trois valises pleines de spaghetti alle vongole!
La première fois que je suis allée à La Havane, c’était il y a 30 ans. Alors étudiante en langues modernes à l’Université McGill, j’y étais allée pour voir le pays et pratiquer mon espagnol. Je suis alors tombée follement amoureuse de la ville, mais aussi de ses habitants. Les Havanais sont tellement chaleureux, accueillants, gentils… Ce n’est pas rare de se faire appeler « mi amor » par des inconnus. Sympathique, non?
Vous le savez, je goûte à tout. Et lors de mon voyage en Croatie, un petit fruit que je ne connaissais pas a piqué ma curiosité. Ce fruit, de couleur vive, allant du jaune au rouge, je ne l’avais jamais vu.
Lorsque Geneviève m’a annoncé qu’elle nous envoyait, Maude et moi, en voyage en Martinique, je n’y ai d’abord pas cru. Mais Geneviève ne blague jamais avec les voyages. Je m’en allais réellement en Martinique. Avec ma grande amie en plus. « Reposez-vous » qu’elle nous a dit. « Prenez de belles photos, régalez-vous, mais, surtout, reposez-vous! »C’est exactement ce qu’on a fait. On s’est reposées.
Étant styliste culinaire, la bouffe, c’est un peu ma passion. Avec mon copain, on aimait voyager pour découvrir de nouveaux pays, mais aussi pour essayer de nouveaux plats. Depuis trois ans, nous sommes passés du couple qui mangeait n’importe quoi, n’importe où, au couple qui décortique les ingrédients et qui analyse tout. Pourquoi? Parce que mon conjoint a reçu un diagnostic de maladie cœliaque.
À l’été 2019, mon mari, mes deux enfants (4 et 6 ans) et moi sommes allés au Mexique pour la première fois. Nous y avons passé tout un mois, dans la chaleur et l’humidité, pour le plus grand bonheur de nos papilles et de nos yeux.
En voyage, je ne rate aucune occasion de visiter un marché. J’ai beau en avoir visité cinq ou six dans le pays que je visite, si un septième se pointe, j’irai m’y balader sans hésiter. Mes partenaires de voyage sont avisés, j’arrête dans tous les marchés. Je suis même prête à faire des détours et à sacrifier d’autres visites pour découvrir un nouveau marché. Et, comme plusieurs villes n’ont pas de marché en continu, j’organise mon itinéraire pour attraper le jour du marché hebdomadaire. Ils sont tous uniques, ils méritent tous qu’on s’y attarde. Voici mes plus beaux souvenirs des marchés croisés lors de mon voyage au Sénégal.
Premier constat lorsqu’on met les pieds en Russie, surtout dans une grande ville comme Saint-Pétersbourg : la Russie s’est vraiment américanisée. On trouve les mêmes boutiques comme GAP et H&M, les mêmes chaînes de restos comme McDo et Subway, les mêmes grandes marques. Alors que l’URSS avait évolué en parallèle du reste de la planète avec ses cosmonautes et ses Lada, maintenant, la Russie se rattrape à la vitesse grand V. La jeunesse russe est folle de tout ce qui est « Made in USA ». Ça m’a vraiment marquée!
Sous ses airs européens, la Russie demeure mystérieuse, fascinante… et incompréhensible!
Parfaite combinaison des cultures américaines et italiennes, on raconte que le cioppino, une soupe aux fruits de mer, aurait été inventé à San Francisco dans les années 1800 par des pêcheurs d’origine italienne. Ils la préparaient avec les restants de leurs prises de la journée et y ajoutaient des oignons, des tomates, des herbes fraîches et du vin. Parlez-moi de ça une recette flexible qui permet d’éviter de gaspiller! Ils l’avaient, l’affaire, dans les années 1800! Lors de mon récent voyage à San Francisco, je n’ai évidemment pas eu le choix de m’arrêter pour déguster un cioppino. On en sert dans presque tous les restaurants italiens de la ville. On m’a recommandé le Sotto Mare, dans la Petite Italie, près de Telegraph Hill. Même si j’ai attendu vraiment, vraiment longtemps pour avoir une table, l’attente a totalement valu le coup.
Je ne m’attendais pas à déguster non pas un, mais trois nouveaux fruits en une seule visite au Ferry Building Farmers Market de San Francisco.
Ah! San Francisco… J’ai posé les pieds pour la première fois dans cette ville en 2012 et j’ai dû me pincer tellement j’ai été renversée par sa beauté. À vrai dire, je ne pensais même pas qu’une ville aussi jolie existait aux États-Unis. Je ne comprenais pas pourquoi j’avais mis autant de temps à la découvrir; depuis, je me fais une mission de convaincre les gens de la visiter! San Francisco, c’est la nature, le confort, la qualité et la fraîcheur des produits. C’est aussi devenu ma ville d’adoption en 2017.
Ma cuisine, c’est sans contredit la pièce la plus importante de ma maison. Il y a de l’action, ça sent bon, y’a de la vie. Elle est petite et, parfois (lire souvent), bordélique. Ça ne prend pas grand-chose pour qu’on se pile sur les pieds, mais je ne saurais m’en passer. C’est mon terrain de jeu.
Mon amie Juliana Loh m’a donné rendez-vous pour le petit-déjeuner dans un restaurant au centre de Hong Kong. Elle m’a prévenue: le matin, à Hong Kong, on ne mange pas des céréales et des rôties. Message reçu. Je suis prête!
Dès que j’ai la chance de goûter à un aliment que je ne connais pas, je plonge. J’ai déjà mangé des scorpions, des sauterelles, des vers à soie et des scarabées. J’ai goûté à du serpent et à de la mamelle de vache. Enfant, alors que mes amies boudaient le brocoli, je mangeais du boudin, des escargots, de la barbotte et des rognons.
Le sandwich ouvert danois, vous connaissez? Le smorrebrod est un incontournable au Danemark! Des tranches de pain et les garnitures dont vous avez envie, c’est tout ce qu’il vous faut pour préparer ce beau repas nordique frais et coloré. Voici comment faire votre version à la maison.
Toujours très prisé comme destination, le Portugal combine richesse culturelle et culinaire. Porto, Lisbonne, Sintra, Faro… peu importe les villes que vous visitez, ce pays vous promet de satisfaire vos papilles. J’ai eu la chance d’y passer des vacances dernièrement et de découvrir plusieurs délicieux plats traditionnels. Voici donc 10 recettes à essayer si vous voyagez au Portugal et leur version Mordu pour les cuisiner à la maison.
Ces jours-ci, les traditions de Noël, tout comme les petits plats réconfortants de nos grands-mères, font leur grand retour sur nos tables. Ce qu’Árpád-Xavier Bócz, 28 ans, préfère durant les Fêtes, c’est de cuisiner le zserbó, une recette de dessert traditionnel hongrois héritée de sa grand-mère qui habite en Hongrie. Comme chaque année, son père et lui préparent ce dessert ensemble à Noël, à Sainte-Brigitte-des-Saults, près de Drummondville. Ils ont accepté de nous transmettre la recette et de nous faire part de leurs souvenirs associés à ce gâteau traditionnel hongrois.