Cuisiner le phoque et la mactre de Stimpson avec Tommy Roy
Comment faire découvrir le phoque aux palais les plus méfiants? On a posé la question à Tommy Roy, du restaurant l’Arlequin à Rimouski.
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Aller au contenu principalAller au pied de pageAide à la navigationLoup-marin, mactre de Stimpson, « bacon » de mer, oursins verts... Le Saint-Laurent regorge d'espèces méconnues. Incursion dans l'univers de ceux et celles qui chassent le phoque et des chefs qui rêvent de le (re)mettre au menu aux côtés des autres trésors du fleuve.
Comment faire découvrir le phoque aux palais les plus méfiants? On a posé la question à Tommy Roy, du restaurant l’Arlequin à Rimouski.
Tanya Condo est l’une des rares femmes à chasser le phoque dans la communauté mi'gmaw de Gesgapegiag, en Gaspésie.
Le chef Kim Côté raconte la genèse de son fameux burger Phoque Bardot, et explique pourquoi il ne sert que du loup-marin (phoque) et des poissons du Saint-Laurent à son restaurant Côté Est.
Avec les hivers plus doux et la banquise désormais quasi inexistante aux Escoumins, la chasse au phoque devient de plus en plus difficile, et la relève se fait rare.
François Lapointe en est à sa première expérience de chasse au phoque. William Lajoie l’amène avec lui sur les eaux glacées du fleuve Saint-Laurent, et ensemble, ils réussissent à chasser un phoque.
Servi en ceviche, le loup de mer (ou phoque) est une viande riche en fer et fondante sur la langue, selon la chef abénakise Lysanne O’Bomsawin.
Le chef Kim Côté cuisine le phoque (ou loup-marin) à toutes les sauces : braisé, confit, en tataki… Ici, il le sert en gravlax avec un à-côté de bourgots façon paëlla.
Pour Tommy Roy, du restaurant l’Arlequin à Rimouski, les chefs d’ici devraient avoir accès aux produits qui goûtent le Saint-Laurent.
La cheffe abénakise Lysanne O’Bomsawin prépare une recette inuit traditionnelle de mijoté de phoque, suivie d’une gibelotte de Sorel avec du flétan.